Salut Gilles, d'abord merci à Luc pour son lien, trés informateur

, en préambule à nos discussions qui j'espère pourront faire avancer les choses favorablement, il y a en scène quelques personnages qui comptent :
- Le motociste chez qui va être réalisée l'expertise, l'expert se fie très souvent à lui pour son compte rendu. C'est mieux si tu le connais, par exemple je suis surpris que l'on t'annonce un cadre à changer, à la limite la boucle arrière je veux bien, mais le cadre ??? vu l'état de ta moto sur les photos, j'ai quand même un doute.
- Ton agent d'assurance, si tu es bon client et en bon termes avec lui ça peut aider.
Donc, d'abord il faut savoir si d'après le constat amiable, les torts sont partagés ou pas, ton agent d'assurance doit pouvoir te le dire, si jamais il te dit que tu as 50/50 il faut demander le 100% pour l'adversaire par courrier en évoquant les cas qui te sont applicables de la convention IRSA (
http://www.motoservices.com/assurance-moto/IRSA-IDA.htm )
Si tu veux j'ai un courrier de mon dernier accident et si tu peux envoies moi une copie du recto de ton constat amiable (c'est la seule qui compte!)
Quand tu reçois le rapport d'expertise, si la cote de ta moto est très inférieure à ce qui se pratique,(un grand classique chez les experts auto/moto) pareil, tu lui fais un beau courrier (j'ai un modèle aussi) et tu fais part de ton désaccord avec annonces/cote argus etc... à l'appui, carnet entretien, etc.... En général il reviennent toujours à la hausse sur leur estimation.
La cote de ta moto, (année 2004 sur motomag) est proche des 6000€ auquel il faudra ajouter tes équipements si il ont été abimés : casque, blouson, pantalon, gants et bottes, si ils ont subit un dégât laisses les chez le motociste pour que l'expert les prennent en compte dans son rapport.
Voilà , c'est début d'une longue quête, j'y suis passé avec du corporel en plus, il ne faut surtout pas baisser les bras et être un peu, voire beaucoup, patient et ferme dans son dialogue.
Toute expérience est bonne à partager, si il y en d'autre, c'est le moment.
A suivre.
Hervé